A celle que j’aime est une ode à l’amour et à ceux qui le célèbrent.
C’est aussi le fruit d’un coup de foudre : celui que nous avons eu pour les robes de mariée et l’univers de la talentueuse Laure de Sagazan. Comment ne pas être sous le charme des ses créations qui « flirtent avec le rétro mais s’encanaillent de l’allure d’aujourd’hui » ? Nous partagions avec Laure un goût pour une féminité sublimée naturellement et une élégance poétique. Dès lors est né le désir d’imaginer ensemble une collection de lingerie de mariage qui viendrait compléter le trousseau des mariées. C’est ainsi qu’A celle que j’aime a vu le jour.
Marque de fabrique commune entre Laure de Sagazan et nous : le choix de matières de qualité ! Nous avons retenu pour cette collection une dentelle noble par sa couleur ivoire, originale par ses motifs , à laquelle nous avons choisi de marier un tulle qui ponctuera votre peau de petit plumetis…
Raffinement et modernité sont les maîtres mots de cette alliance subtile.
Pour les formes, l’exigence des coupes et le sens du détail sont de mises.
Vous retrouverez bien sûr notre forme fétiche, le soutien-gorge push-up souple, qui viendra galber naturellement votre décolleté, et au travers duquel votre peau sera suggérée tout en sensualité.
A celle que j’aime existe également en soutien-gorge bandeau mousse : cette forme arrondit la poitrine et assure un maintien parfait grâce à son élastique antiglisse : de quoi ravir les adeptes des robes bustier.
La collection décline deux formes de bas : une petite culotte taille basse à la coupe raffinée et un tanga aussi invisible qu’irrésistible, tous deux volantés pour parfaire l’esprit aérien et l’extrême féminité de cette collection.
A celle que j’aime, c’est une poésie à porter le grand jour et tous les autres, pour vous sentir aussi belle que vous l’êtes en réalité.
Liens utiles :
-> Pour shopper la collection A celle que j’aime, rdv ici.
-> Pour choisir votre robe d’un jour, ou essayer les ensembles de lingerie, rdv chez Laure de Sagazan : 102 rue du Faubourg Poissonnière, 75010, Paris
-> Pour relire notre article « Les dessous de Laure de Sagazan » de juin 2015 c’est ici.
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